Le dynamisme des recherches menées à Paris 1 est notamment le résultat de la richesse de la production scientifique de ses docteurs et docteures. L’engagement dans un parcours de doctorat est aujourd’hui plus que jamais une voie difficile pour celles et ceux qui l’empruntent, mais vitale pour l’avenir de nos disciplines. Partant de ce constat, la liste « Savoirs et Confiance Partagés » s’engage :
- À soutenir les écoles doctorales (ED) qui n’ont pas été l’objet d’attention suffisante lors de cette mandature, et à redynamiser le collège des ED. En mettant en place une politique active d’augmentation des contrats doctoraux, des missions complémentaires et des contrats Cifre en établissant des listes de partenaires par disciplines, susceptibles d'engager des négociations pour l'établissement des conventions CIFRE. En améliorant et en accompagnant mieux la mise en œuvre du logiciel Adum et en finalisant la labélisation des ED. En simplifiant la signature des cotutelles qui reste trop lente et laborieuse. En renforçant significativement les moyens des ED pour soutenir la mobilité et les terrains de recherche des doctorantes et doctorants et améliorer le système des autorisations délivrées par le FSD pour les missions à l'étranger.
- À structurer l’enseignement doctoral qui ne bénéficie d’aucune reconnaissance dans les services enseignants. La mise en commun de formations transversales offertes par le collège des ED a été un remède à cette pénurie d’heures de formation, mais il faut dégager de réels moyens pour renforcer la formation doctorale. En mettant en place des séminaires internationaux, polyglottes, sur le modèle de nos EUR (Écoles universitaires de recherche) et dans le cadre de UNA Europa, en développant des partenariats avec d’autres universités pour la formation doctorale et la mobilité des doctorants. En mettant en place un véritable parcours doctoral visible et reconnu dans les services des enseignants-chercheurs. En renforçant le lien entre le Master 2 et le doctorat, notamment dans les laboratoires, pour organiser des séminaires communs de formation à la recherche obligatoires et reconnus. En proposant donc de réfléchir à l’établissement progressif d'un système de modules de recherche faisant le lien entre Master 2 et Doctorat.
- À accompagner l’insertion professionnelle des M2, des doctorants et doctorantes. En généralisant le développement de « doctoriales », de rencontres entre les doctorants et l’écosystème où ils sont susceptibles de s’insérer professionnellement en France et à l’international, en les accompagnant dans la reconnaissance et la médiatisation de leur recherche hors du périmètre universitaire (entreprise, presse, association, média, organisme public). En offrant des formations transversales (techniques documentaires et archivage, graphisme, conception web, programmation, gestion de projets)… Ces compétences latérales favorisent leur recrutement.
- À renforcer le service d’offres postdoctorales du Bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP).
- À soutenir les écoles doctorales (ED) qui n’ont pas été l’objet d’attention suffisante lors de cette mandature, et à redynamiser le collège des ED. En mettant en place une politique active d’augmentation des contrats doctoraux, des missions complémentaires et des contrats Cifre en établissant des listes de partenaires par disciplines, susceptibles d'engager des négociations pour l'établissement des conventions CIFRE. En améliorant et en accompagnant mieux la mise en œuvre du logiciel Adum et en finalisant la labélisation des ED. En simplifiant la signature des cotutelles qui reste trop lente et laborieuse. En renforçant significativement les moyens des ED pour soutenir la mobilité et les terrains de recherche des doctorantes et doctorants et améliorer le système des autorisations délivrées par le FSD pour les missions à l'étranger.
- À structurer l’enseignement doctoral qui ne bénéficie d’aucune reconnaissance dans les services enseignants. La mise en commun de formations transversales offertes par le collège des ED a été un remède à cette pénurie d’heures de formation, mais il faut dégager de réels moyens pour renforcer la formation doctorale. En mettant en place des séminaires internationaux, polyglottes, sur le modèle de nos EUR (Écoles universitaires de recherche) et dans le cadre de UNA Europa, en développant des partenariats avec d’autres universités pour la formation doctorale et la mobilité des doctorants. En mettant en place un véritable parcours doctoral visible et reconnu dans les services des enseignants-chercheurs. En renforçant le lien entre le Master 2 et le doctorat, notamment dans les laboratoires, pour organiser des séminaires communs de formation à la recherche obligatoires et reconnus. En proposant donc de réfléchir à l’établissement progressif d'un système de modules de recherche faisant le lien entre Master 2 et Doctorat.
- À accompagner l’insertion professionnelle des M2, des doctorants et doctorantes. En généralisant le développement de « doctoriales », de rencontres entre les doctorants et l’écosystème où ils sont susceptibles de s’insérer professionnellement en France et à l’international, en les accompagnant dans la reconnaissance et la médiatisation de leur recherche hors du périmètre universitaire (entreprise, presse, association, média, organisme public). En offrant des formations transversales (techniques documentaires et archivage, graphisme, conception web, programmation, gestion de projets)… Ces compétences latérales favorisent leur recrutement.
- À renforcer le service d’offres postdoctorales du Bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP).
