Depuis quelques années, quelques collègues, de toutes disciplines et de la DSIUN ont pris à bras le corps le défi de l’Intelligence artificielle. Ce n’est pas qu’une affaire d’ingénieurs et l’université de Paris 1 a déjà engagé une réflexion sur les usages et les effets de l’IA sur la société actuelle, sur les inflexions induites et les perspectives ouvertes dans nos disciplines et dans notre métier. L’IA impose en effet d’adapter en partie notre offre de formation, de réfléchir aux normes et à la gouvernance de cet outil, comme de s’assurer de la traçabilité des données mobilisées dans le cadre de la recherche.
Un observatoire a été mis en place pour valoriser ce qui se fait dans notre établissement, deux masters professionnels ont été créés, des Chaires juniors sur le sujet déposées et obtenues en économie et le programme Data Intelligence Artificielle Sorbonne (DIAS) se met en place. La liste Savoirs et confiance partagés veut accompagner cette dynamique et aller plus loin en déployant des formations à la maîtrise de l’IA auprès des enseignants-chercheurs comme des Biatss afin de repenser la manière de travailler avec les étudiants comme dans les services. Quels profits tirer de l’IA ? Quels dangers faut-il éviter ? Comment garder l’esprit critique à l’heure de l’IA sans rester dans des effets de boîtes noires ? Faisons de nos salles de cours et de nos services un vaste laboratoire d’innovations. Mais pour cela, il faut que chacun se sente à l’aise avec l’outil afin d’éviter le stress et la fracture numériques et permettre à chacun de mesurer les avantages qu’il peut en tirer.
Nous devons aussi favoriser la mise en place de services et de plateformes destinés à faciliter le recours à l’IA dans nos travaux de recherche, pour permettre à la communauté scientifique de se saisir de cet outil en passe de révolutionner l’accès à l’information, à la documentation et au traitement des données.
L’équipe Savoirs et confiance partagés entend enfin travailler à une meilleure reconnaissance des initiatives des différents acteurs et laboratoires de notre université. Pour jouer un rôle moteur dans la structuration d’un pôle d’expertise IA-SHS reconnu par les acteurs socio-économiques et culturels, Paris 1 doit renforcer les synergies en interne et nouer des partenariats avec les grands organismes publics de recherche comme le CNRS, mais aussi l’INRIA (Institut national de recherches en sciences et technologies du numérique) établi dans le 13e arrondissement, où Paris 1 a une implantation historique qu’il ne faut pas négliger à l’heure de la ville du quart d’heure. Mais l'Université doit aussi travailler en relation avec les différents organes, agences, bureaux et départements des Nations Unies qui ont combiné des compétences internationales d'excellence et exploré les moyens d'exploiter le potentiel de l'IA sur les changements du monde (Academic Impact, Global Compact, etc.) récemment évoqués au Sommet de l’avenir.
Nous devons aussi favoriser la mise en place de services et de plateformes destinés à faciliter le recours à l’IA dans nos travaux de recherche, pour permettre à la communauté scientifique de se saisir de cet outil en passe de révolutionner l’accès à l’information, à la documentation et au traitement des données.
L’équipe Savoirs et confiance partagés entend enfin travailler à une meilleure reconnaissance des initiatives des différents acteurs et laboratoires de notre université. Pour jouer un rôle moteur dans la structuration d’un pôle d’expertise IA-SHS reconnu par les acteurs socio-économiques et culturels, Paris 1 doit renforcer les synergies en interne et nouer des partenariats avec les grands organismes publics de recherche comme le CNRS, mais aussi l’INRIA (Institut national de recherches en sciences et technologies du numérique) établi dans le 13e arrondissement, où Paris 1 a une implantation historique qu’il ne faut pas négliger à l’heure de la ville du quart d’heure. Mais l'Université doit aussi travailler en relation avec les différents organes, agences, bureaux et départements des Nations Unies qui ont combiné des compétences internationales d'excellence et exploré les moyens d'exploiter le potentiel de l'IA sur les changements du monde (Academic Impact, Global Compact, etc.) récemment évoqués au Sommet de l’avenir.
